Constructions en ossatures bois, la nouvelle règle …

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Barbara Pompili et Emmanuelle Wargon ont annoncé les grandes modalités de la RE2020. Large étalement de son application, interdiction du gaz, ACV obligatoire, sévérisation du Bbio,…

Par rapport aux exigences de la RT 2012, le seuil maximal pour le besoin bioclimatique sera abaissé de 30 % pour tous les logements individuels et collectifs, annonce alors Barbara Pompili. Les Français pourront ainsi profiter de logements mieux conçus et mieux isolés. Et donc de factures énergétiques sensiblement inférieures. ».

La RE 2020 fixera, pour la première fois, des seuils d’exigence carbone, en créant des obligations de résultat. Tout en laissant la liberté aux constructeurs de garder des matériaux et les techniques qu’ils souhaitent mettre en œuvre pour faire baisser leurs émissions. Le gouvernement espère ainsi encourager l’innovation dans des solutions bas carbone. Voire systématiser les modes constructifs qui émettent peu de gaz à effet de serre. Cela signifie notamment construire plus souvent puis systématiquement avec du bois et des matériaux biosourcés, qui stockent le carbone pendant la durée de vie du bâtiment. La marche à franchir est de taille. Les maisons à ossature bois représentent moins de 10 % du marché neuf en France et encore moins dans le grand collectif.

Constructions ossatures bois la nouvelle règle pour 2021 ! Mais qu’en est-il pour réduire les champs électromagnétiques des installations électriques des logements ?

La maison bois, installation biocompatible

Les constructions ossatures bois doivent tout particulièrement être conçues avec une installation électrique biocompatible. Elles offrent un confort intérieur très agréable. En grande partie dû à l’effusivité du bois. Mais aussi à sa capacité à équilibrer l’hygrométrie intérieure. Parce que le bois absorbe l’humidité quand l’hygrométrie est élevée et la relâche quand l’air est sec. C’est un grand confort !

Mais mis à part ces nombreux atouts, la construction bois a cependant un défaut et non des moindres. Par sa capacité « d’isolant électrique » qui se transforme ici en désavantage. Le bois garde présent et statique dans l’espace la totalité des champs électriques basses fréquences produits à l’intérieur de la maison. Par contre, les autres matériaux d’origine minérale (pierre, brique, bloc béton…) en évacuent une partie par le potentiel électrique du sol avec lequel ils sont en contact.

Voilà pourquoi aujourd’hui, il est primordial de concevoir des installations électriques biocompatibles. Pour enfin réduire et même supprimer les rayonnements électriques des logements.